Ton amitié est un bonheur que je savoure à chaque instant.
Ton abandon, un cadeau sans prix.
dimanche 28 octobre 2012
mardi 23 octobre 2012
dimanche 21 octobre 2012
lundi 15 octobre 2012
lundi 8 octobre 2012
Je me suis sentie submergée par l'émotion lorsque tu m'as dit que tu ne pouvais pas venir. Totalement dévastée. Et je me suis détestée de me laisser ainsi emporter. D'avoir si peu de contrôle. D'être si vulnérable. Si dépendante.
Je me disais que le destin ne voulait pas que tu fasses officiellement partie de ma vie; et moi de la tienne. Comme si notre amitié ne pouvait pas dépasser les murs virtuels de l'internet, et ceux plus réels de ma chambre.
J'ai compris par après que cette situation me rappelait de mauvais souvenirs.
D'où cette tristesse si mal cachée. Ce désespoir dans ma voix.
Et peut-être aussi ma réaction d'enfant gâtée qui n'obtient pas ce qu'elle veut.
Mais tu es venu. Avec tes microbes, tes desserts hallucinants et ton sourire.
Et pendant 4 heures, nos deux mondes se sont mélangés. La réalité de ton existence ne faisait plus de doute. Mes peurs pouvaient enfin se calmer.
Non, tu ne disparaitrais plus.
Tu es bien plus généreux que tu ne le croies.
dimanche 7 octobre 2012
Dehors, le vent secoue les dernières feuilles rouges et jaunes, les entrainant dans une valse lente au dessus des toits de Montréal.
Les cols se relèvent. Les démarches s'accélèrent. À chacun de nos pas, nous écrasons un peu plus le souvenir de l'été qui s'achève enfin.
Dedans, odeurs de chocolat et chaleur réconfortante. Farine qui vole sur le comptoir. Mouchoirs qui s'entassent dans la corbeille. Caresses simulées et câlins abandonnés. Soupirs déguisés. Fous rires incontrôlés. La fatigue s'accumule. Musset chante et l'eau fuit.
Et dans tes yeux, ma vie qui s'oublie.
Les cols se relèvent. Les démarches s'accélèrent. À chacun de nos pas, nous écrasons un peu plus le souvenir de l'été qui s'achève enfin.
Dedans, odeurs de chocolat et chaleur réconfortante. Farine qui vole sur le comptoir. Mouchoirs qui s'entassent dans la corbeille. Caresses simulées et câlins abandonnés. Soupirs déguisés. Fous rires incontrôlés. La fatigue s'accumule. Musset chante et l'eau fuit.
Et dans tes yeux, ma vie qui s'oublie.
jeudi 4 octobre 2012
J'ai bien évidemment rêvé de toi toute la nuit.
Tout semblait si simple. Si normal.
Il faisait si doux dans tes bras.
Et ce matin, je traine cette mélancolie comme un habit de pluie, un voile de tristesse.
Il ne faut pas réouvrir les tiroirs du passé. Il vaut mieux les laisser soigneusement fermés à clefs.
Tout semblait si simple. Si normal.
Il faisait si doux dans tes bras.
Et ce matin, je traine cette mélancolie comme un habit de pluie, un voile de tristesse.
Il ne faut pas réouvrir les tiroirs du passé. Il vaut mieux les laisser soigneusement fermés à clefs.
Ça devient plus difficile
de ne pas penser à toi sans arrêt.
de ne pas t'écrire tous les jours.
de ne pas relire tous tes courriels.
de ne pas sonner chez toi par surprise.
de ne pas t'inviter à la maison.
de ne pas te sauter au cou quand je te vois.
de ne pas rêver. tout simplement rêver. toute éveillée. tout le temps. en soupirant. en souriant.
oui, cela devient plus difficile.
et cela me plait...;o)
(19 septembre 2008)
4 ans et 15 jours plus tard, la situation n'a pas changé. Seuls les personnages se sont transformés.
Et je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer.
de ne pas t'écrire tous les jours.
de ne pas relire tous tes courriels.
de ne pas sonner chez toi par surprise.
de ne pas t'inviter à la maison.
de ne pas te sauter au cou quand je te vois.
de ne pas rêver. tout simplement rêver. toute éveillée. tout le temps. en soupirant. en souriant.
oui, cela devient plus difficile.
et cela me plait...;o)
(19 septembre 2008)
4 ans et 15 jours plus tard, la situation n'a pas changé. Seuls les personnages se sont transformés.
Et je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer.
mardi 2 octobre 2012
Le Bonheur
Je ne suis pas funambule. J'avance pas à pas. Je ne sais rien des jours, je glisse sur un fil, au loin je ne vois pas. Si je regarde en bas c'est le vertige, je ne regarde pas. Je risque à chaque pas et j'avance, docile. À chaque risque le bonheur est là. J'avance vers moi; le bout du fil n'existe pas.
(Philippe Delerm, Fragiles, 2001)
(Philippe Delerm, Fragiles, 2001)
lundi 1 octobre 2012
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