Vouloir plus, tendre vers le sublime, aspirer à la passion, n'est pas rejeter la réalité, le tangible.
C'est croire à la réalisation des rêves. Refuser la tiédeur. Abandonner ses réserves.
C'est vouloir vivre vraiment.
mercredi 28 novembre 2012
dimanche 25 novembre 2012
dimanche 18 novembre 2012
Voilà, c'est fini.
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour, et fais gaffe à l´amour
Voilà, c'est fini.
Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais
Peut-être après-demain, je te retrouverai
Car c'est fini.
[...]
Voilà, c'est fini.
Ne sois jamais amère, reste toujours sincère
T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu
Voilà, c'est fini.
Nos deux mains se desserrent de s'être trop serrées
La foule nous emporte chacun de notre côté
C'est fini.
C'est fini.
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour, et fais gaffe à l´amour
Voilà, c'est fini.
Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais
Peut-être après-demain, je te retrouverai
Car c'est fini.
[...]
Voilà, c'est fini.
Ne sois jamais amère, reste toujours sincère
T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu
Voilà, c'est fini.
Nos deux mains se desserrent de s'être trop serrées
La foule nous emporte chacun de notre côté
C'est fini.
C'est fini.
samedi 17 novembre 2012
L'éphémère
J'écoute Alexandre Désilets.
La journée est belle. Calme.
Nous sommes en Dernière ce soir.
J'aimerais que tu sois là.
La vie nous joue des tours parfois....
mardi 13 novembre 2012
HISTOIRE D'UN MERLE BLANC
Un Conte métaphorique d'Alfred de Musset
Du 15 au 17 novembre 2012 (20h)
à l'Espace La Risée
1258, rue Bélanger Est (coin de Normanville)
Qu'il est glorieux mais qu'il est pénible d'être en ce monde un merle exceptionnel...
Répudié par ses parents parce qu'il n'est pas de leur couleur, moqué
pour sa voix qui en effare plus d'un, ballotté par le vent, sans ami,
sans abri, un jeune oiseau s'interroge sur son identité...
Fable
autobiographique aux accents romantico-comiques, qui dépeint les amours
malheureuses de Musset avec George Sand et ses déboires d'auteur
incompris, HISTOIRE D'UN MERLE BLANC est aussi et surtout une merveilleuse ode à la différence .
Mise en scène d'Erika Malot
Avec Guy-Gérard Assingo, Elodie Briant, Louis-René Clément, Marc-André
Daigneault, Katia Decorde, Fabienne Dohin, Véronique Dupont et Gérald
Morin.
Illustration: Roberto Niño de Guzmán.
Tarif: 15$
Tarif: 15$
Réservations: exclamateurs@gmail.com
dimanche 4 novembre 2012
Petit plaisir, grande victoire
Un enfant accomplit des miracles chaque jours; vit des succès étonnants. Prononcer ses premières syllabes, nouer ses lacets seul, faire du vélo sans les petites roues, compter jusqu'à 100, prendre l'autobus ou encore finir un premier roman.
Il devient de plus en plus difficile en vieillissant de rencontrer des occasions semblables. Pour ressentir ce sentiment de plaisir, cette jouissance de la difficulté maitrisée, il faut souvent prendre des risques bien plus grands. Et cela n'arrive pas à chaque instant.
Mardi, sur le chemin du retour, le soleil brillait. J'étais heureuse. Sereine. Équilibrée en quelques sortes. Je m'en allait confiante vers mon avenir.
Tout en continuant à pédaler à bonne allure, j'ai redressé le dos, prit une grande inspire et lâché mon guidon.
Et comme le destin était de mon côté ce jour-là, le vélo n'a pas cillé.
Et mon sourire s'est élargi à mesure que mes bras s'ouvraient.
Pour la première fois de ma vie, je volais.
Et l'excitation de ce bonheur m'habite encore cinq jours plus tard.
Il devient de plus en plus difficile en vieillissant de rencontrer des occasions semblables. Pour ressentir ce sentiment de plaisir, cette jouissance de la difficulté maitrisée, il faut souvent prendre des risques bien plus grands. Et cela n'arrive pas à chaque instant.
Mardi, sur le chemin du retour, le soleil brillait. J'étais heureuse. Sereine. Équilibrée en quelques sortes. Je m'en allait confiante vers mon avenir.
Tout en continuant à pédaler à bonne allure, j'ai redressé le dos, prit une grande inspire et lâché mon guidon.
Et comme le destin était de mon côté ce jour-là, le vélo n'a pas cillé.
Et mon sourire s'est élargi à mesure que mes bras s'ouvraient.
Pour la première fois de ma vie, je volais.
Et l'excitation de ce bonheur m'habite encore cinq jours plus tard.
Inscription à :
Articles (Atom)