Quel temps fait-il ?
mardi 26 octobre 2010
mercredi 20 janvier 2010
...vieux commentaire retrouvé sur le blog d'une amie (2005)
On parle d'angoisse bien sûr...
est-ce qu'angoissé et stressé, c'est la même chose?? si non, je dirais que je suis plutôt une stressée perpétuelle. je pense d'ailleurs avoir repéré l'origine de ma folie "liste". tu sais, ala, que j'ai trié des tonnes de papiers de mon adolescence pendant que j'étais à Paris (ma mère voulait absolument que je range mon bureau. ah, les parents!) et qu'y ai-je retrouvé??!! je te le donne en mille! mes premières listes. listes de vacances, listes de projets, listes de choses à faire (déjà!!), listes de films vus, de livres lus, listes de métiers potentiels (alors là, j'ai bien ri! y'avait sur la même liste: philologue, avocate, romancière, détective privée, JAG -c'est beau l'uniforme!-, comédienne et journaliste ). j'ai retrouvé mon premier projet de voyage en Nouvelle-Zélande ( liste des vêtements à prendre, des objets, listes des lieux à visiter...!). bref, des tonnes de trucs à faire.
alors, moi, je pense que ce qui m'angoisse, c'est juste de ne rien faire. c'est le présent sans but, sans projets; un présent sans futur pré-défini.
oh! quand je regarde toutes ces listes de mon adolescence, je me rends bien compte que je ne fais jamais vraiment ce qu'il y a d'écrit dessus. mais je crois que ça sert à me porter plus loin, à me faire rêver, à croire que je sais où je vais.
b'est bien beau la philo mais revenons à de vraies choses: c,est quoi toutes ces bêtes stupides qui ne pensent qu'à une chose: nous foncer dessus,nous tomber sur la tête, nous grimper sur les bras (avec leurs 8 pattes! arrrggg!)! non mais! y'en a marre à la fin!
est-ce qu'angoissé et stressé, c'est la même chose?? si non, je dirais que je suis plutôt une stressée perpétuelle. je pense d'ailleurs avoir repéré l'origine de ma folie "liste". tu sais, ala, que j'ai trié des tonnes de papiers de mon adolescence pendant que j'étais à Paris (ma mère voulait absolument que je range mon bureau. ah, les parents!) et qu'y ai-je retrouvé??!! je te le donne en mille! mes premières listes. listes de vacances, listes de projets, listes de choses à faire (déjà!!), listes de films vus, de livres lus, listes de métiers potentiels (alors là, j'ai bien ri! y'avait sur la même liste: philologue, avocate, romancière, détective privée, JAG -c'est beau l'uniforme!-, comédienne et journaliste ). j'ai retrouvé mon premier projet de voyage en Nouvelle-Zélande ( liste des vêtements à prendre, des objets, listes des lieux à visiter...!). bref, des tonnes de trucs à faire.
alors, moi, je pense que ce qui m'angoisse, c'est juste de ne rien faire. c'est le présent sans but, sans projets; un présent sans futur pré-défini.
oh! quand je regarde toutes ces listes de mon adolescence, je me rends bien compte que je ne fais jamais vraiment ce qu'il y a d'écrit dessus. mais je crois que ça sert à me porter plus loin, à me faire rêver, à croire que je sais où je vais.
b'est bien beau la philo mais revenons à de vraies choses: c,est quoi toutes ces bêtes stupides qui ne pensent qu'à une chose: nous foncer dessus,nous tomber sur la tête, nous grimper sur les bras (avec leurs 8 pattes! arrrggg!)! non mais! y'en a marre à la fin!
vendredi 13 novembre 2009
Décider d'arriver en retard au travail pour donner du temps à son couple.
Ne pas culpabiliser.
Se rendre compte qu'à cette heure-là, il y a moins de monde dans le bus. Que le chauffeur est du coup plus sympathique. Que le soleil brille plus fort.
Ne plus avoir de brûlures d'estomac.
Prendre le temps de relaxer.
Vivre un peu plus pour moi et un peu moins pour le système.
Comme cela fait du bien.
Ne pas culpabiliser.
Se rendre compte qu'à cette heure-là, il y a moins de monde dans le bus. Que le chauffeur est du coup plus sympathique. Que le soleil brille plus fort.
Ne plus avoir de brûlures d'estomac.
Prendre le temps de relaxer.
Vivre un peu plus pour moi et un peu moins pour le système.
Comme cela fait du bien.
jeudi 20 août 2009
dimanche 19 avril 2009
Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être.
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus.
(Mon Amant de St-Jean, Lucienne Delyle, 1942)
"En fait, j'me suis pas assez occupé de toi. Enfin, en tout cas, pas comme il aurait fallu. Quand on n'a pas tout fait pour quelqu'un, ben, on n'a rien fait."
(La Petite Voleuse, un film de Claude Miller, d'après un scénario original de François Truffaut et Claude de Givray, 1988)
A Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être.
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux.
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus.
(Mon Amant de St-Jean, Lucienne Delyle, 1942)
"En fait, j'me suis pas assez occupé de toi. Enfin, en tout cas, pas comme il aurait fallu. Quand on n'a pas tout fait pour quelqu'un, ben, on n'a rien fait."
(La Petite Voleuse, un film de Claude Miller, d'après un scénario original de François Truffaut et Claude de Givray, 1988)
mardi 14 avril 2009
Journée 1
Qu'aurais-je voulu?
Le battement acceléré d'un cil?
Le souffle un instant retenu?
Une osmose magique?
*
Il y avait un chat devant la porte d'entrée de mes voisins. Il semblait attendre qu'on lui ouvre.
L'espace d'un instant, j'ai voulu appuyer sur la sonnette et partir en courant.
Quelle tête ils auraient fait!
J'ai ri pendant dix bonnes minutes à cette idée.
*
Les petits bonheurs permettent souvent de dormir.
Le battement acceléré d'un cil?
Le souffle un instant retenu?
Une osmose magique?
*
Il y avait un chat devant la porte d'entrée de mes voisins. Il semblait attendre qu'on lui ouvre.
L'espace d'un instant, j'ai voulu appuyer sur la sonnette et partir en courant.
Quelle tête ils auraient fait!
J'ai ri pendant dix bonnes minutes à cette idée.
*
Les petits bonheurs permettent souvent de dormir.
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