Quand tant de merveilleuses émotions nous assaillent, que les sentiments débordent, qu'on voudrait révéler l'intégralité de son cœur au monde entier, il reste encore une fois Stephan Eicher pour nous bercer.
Souris des villes, un peu des champs (mais avec insecticide, Nutella en quantité nécessaire, deux trois romans et j-j Goldman dans les oreilles), je cherche mon chemin dans un dédale semi-fléché. Kodak et crayon à la main, je joue la touriste et fais progresser mon voyage. Un matin à la fois.
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