Que les racines de notre amitié ( si merveilleuse pourtant) ne soient pas assez profondément ancrées pour résister à ces maux mots qui nous assaillent.
Souris des villes, un peu des champs (mais avec insecticide, Nutella en quantité nécessaire, deux trois romans et j-j Goldman dans les oreilles), je cherche mon chemin dans un dédale semi-fléché. Kodak et crayon à la main, je joue la touriste et fais progresser mon voyage. Un matin à la fois.
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